Formation pour renforcer les capacités de protection du patrimoine culturel
En mars, plusieurs membres du projet CHrisis ont participé à une formation sur la protection du patrimoine culturel, organisée dans le cadre du projet ProCultHer-NET, coordonné par la protection civile italienne.
En mars, plusieurs membres du projet CHrisis ont participé à une formation sur la protection du patrimoine culturel, organisée dans le cadre du projet ProCultHer-NET. 'Protecting Cultural Heritage from the Consequences of Disasters' est un projet coordonné par la protection civile italienne. Le projet financé par l'Union européenne vise à établir des partenariats entre le secteur du patrimoine culturel et la protection civile dans toute l'Europe et à renforcer les capacités de protection du patrimoine culturel dans les situations d'urgence, tout en réfléchissant à une intégration plus systématique de la protection du patrimoine dans le travail de la protection civile. Deux sessions de formation d'une semaine ont été organisées à Volterra en Italie, comprenant de la théorie, des exercices pratiques et des simulations.
Plus de nouvelles de l'IRPA
REFRESH : Étudier le cycle de l'eau pour protéger le patrimoine
Le changement climatique est un défi urgent pour notre monde, y compris pour le patrimoine. L'eau est une menace pour les sites patrimoniaux, il est donc essentiel de mettre en place une gestion durable de l'eau pour protéger notre patrimoine. C'est ce que nous visons avec REFRESH.
Le nouveau Scientia Artis sort de presse !
De l’illustre famille de sculpteurs bruxellois du Quesnoy ‒ le père, Jérôme le Vieux, et ses deux fils, François et Jérôme le Jeune ‒ seuls la vie et l’œuvre du fils aîné, François du Quesnoy, riche d’une grande renommée à Rome, avaient été étudiées de manière approfondie. Mais qui était son frère cadet, Jérôme le Jeune ? Que sait-on de sa vie et de son œuvre ? Peu de choses. Malgré sa brillante carrière de sculpteur, statuaire et architecte de la cour du gouverneur des anciens Pays-Bas Léopold Guillaume (1647-1656), son œuvre a été délaissée par la critique à la suite de sa condamnation à mort en 1654.